Gilles Pargneaux (S&D). Monsieur le Président, en quelques mots, tout d’abord une observation sur les propositions franco-allemandes. Je pense que nous devons finalement réagir positivement. Souvent nous le disons, depuis 2007, nous n’avons plus de moteur franco-allemand et, en même temps, nous devons regretter que ces propositions franco-allemandes aient finalement un côté esclavagiste pour la France étant donné que ces propositions sont faites pour éviter à la France, compte tenu de sa mauvaise santé financière économique, de se trouver dans une situation difficile.

Et puis, il faut aussi constater que dans ces propositions, il n’y a aucune proposition positive comme l’aborde le rapport Berès pour permettre effectivement d’avoir une véritable gouvernance économique au sein de l’Union européenne.