Les Français Cécile Kohler, Jacques Paris, Olivier Grondeau, ainsi qu’Ahmadreza Djalali, irano-suédois, sont détenus en Iran comme otages d’État. Leur santé se détériore et leur emprisonnement est un chantage contre nos démocraties. L’Union européenne doit se mobiliser pour leur libération. 

Après l’adoption d’une résolution d’urgence au Parlement européen en janvier dernier, nous renouvelons notre demande à l’UE d’agir. Pression diplomatique, désignation des Gardiens de la Révolution comme organisation terroriste, sanctions renforcées : il est temps de passer aux actes. 

Avec nos collègues suédois du groupe des socialistes et démocrates, nous avons adressé une lettre à la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas pour exiger une action immédiate. La libération des otages d’Etat n’est pas qu’un enjeu pour la France ou pour la Suède, mais pour l’Europe tout entière.

Notre courrier :