Le chantier EPR 3 de Flamanville n’est pas, pour reprendre les termes du Directeur de l’aménagement du projet, «un parc d’attraction», et les journalistes n’y sont pas forcément les bienvenus, pas plus d’ailleurs que les délégations de parlementaires européens. C’est un chantier d’envergure européenne, représentant 5 milliards d’investissement et mobilisant près de 150 entreprises et 3300 salariés, parmi lesquels un tiers d’intérimaires venus de toute l’Europe ou presque.

 

Vendredi 1er juillet, nous nous sommes rendues à Flamanville pour vérifier sur pièce et sur place les conditions d’embauche, de travail et de vie qui ont été dernièrement dénoncées par plusieurs syndicats et confirmées par l’Autorité de sûreté nucléaire française.

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