« Plusieurs ONG ont exprimé des remarques sur notre communiqué de presse se félicitant du vote du rapport d’Anni Podimata sur la taxe sur les transactions financières ».
« Notre communiqué, effectivement, ne cite pas l’ « affectation, même partielle, aux grandes urgences mondiales comme le sida, l’extrême pauvreté ou le changement climatique ». Nous sommes bien sûr favorables à de telles politiques et nous continuerons à les soutenir. Ce soutien passera par le budget communautaire. Faut-il le rappeler: chaque année, lors de la discussion du budget, nous défendons ces priorités comme d’ailleurs dans les négociations sur les perspectives financières. Omettre cet engagement est un mauvais procès car nous sommes attachés à la dimension solidaire de la taxe sur les transactions financières.
Nous regrettons une mise en cause injustifiée de la part d’ONG avec lesquelles nous avons pourtant l’habitude de travailler et qui n’hésitent pas à nous solliciter sur tous les sujets qui les concernent ».