Gilles Pargneaux (S&D). – Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, chers collègues, chers corapporteurs, du simple pansement au cœur artificiel en passant par les prothèses mammaires ou de hanche, ces dispositifs médicaux sont essentiels pour notre santé et notre qualité de vie au quotidien. Ils occupent une place prépondérante dans l’économie européenne de la santé – je pense que c’est important de le dire – et jouent un rôle déterminant pour notre espérance de vie, qui ne cesse d’augmenter. Voilà une réalité qu’il convient toujours de prendre en compte et c’est l’occasion que nous offre ce débat.

Je me souviens d’avoir été corapporteur d’une résolution en 2012: après les scandales de 2010 et de 2012, il fallait absolument demander à la Commission européenne de nous proposer un dispositif de protection. C’est chose faite après cinq ans d’un combat victorieux. Par conséquent, je remercie Glenis Wilmott et Peter Liese, mais aussi le commissaire européen, M. Andriukaitis, de nous permettre d’offrir un dispositif de protection à l’ensemble des Européennes et des Européens.