Eric Andrieu, au nom du groupe S&D. – Monsieur le Président, mes chers collègues, le 7 novembre 2018, la Commission a publié une communication qui était censée réduire l’exposition de nos concitoyens aux perturbateurs endocriniens. Malheureusement, force est de constater que cette feuille de route ne répond absolument pas à l’urgence sanitaire et environnementale.

Au regard de la menace que représentent ces substances pour la santé des 500 millions de citoyens européens, le groupe social-démocrate propose d’ajouter à l’ordre du jour de jeudi de cette période de session, comme troisième point, une déclaration de la Commission avec débat sur ce sujet, doublée d’une résolution qui pourrait quant à elle être adoptée lors de la session d’avril II.